
Le dividende sociétal consiste, pour une entreprise qui le décide et le pilote, à redistribuer une partie de la valeur créée dans des causes d’intérêt général.
Plus large que le mécénat, différent de la philanthropie, il trouve sa justification dans le rôle politique que l’entreprise se doit de plus en plus de jouer pour participer, au-delà de son activité, à la réparation de la société à un moment où les enjeux sociaux et environnementaux auxquels nous devons collectivement faire face requièrent de plus en plus de moyens.
Déjà mis en place par le Crédit Mutuel, la Maïf ou le cabinet de conseil Tenzing, ce livre vise à en décrire précisément les contours, à en donner le mode d’emploi et à répondre à l’ensemble des objections que sa mise en place peut susciter, afin que toute entreprise puisse s’en saisir et contribuer à l’émergence d’une société plus juste et plus durable.